Edward

Prénom : Edward
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Nationalité : Anglais
Orientation sexuelle : Si vous saviez....

Caractéristiques physiques

La grande faiblesse d'Edward réside dans la différence entre son corps et son esprit. Son corps est sa seule et véritable limite, qu'il prend un plaisir masochiste à repousser le plus possible. D'autant plus qu'il souffre d'une espèce de maladie qui provoque des vomissements à chaque fois qu'il dépense de l'énergie, souvent donc, après un trop-plein d'émotion. Son apparence traduit assez bien se manque de force, plutôt maigre, de taille moyenne, pas de beau muscles saillants... Ed est loin d'imposer par sa carrure mais il séduisant, car il dégage, involontairement, une douce beauté. Ce corps frêle est pourtant suffisamment résistant pour permettre à Ed de battre lorsque cela est nécessaire. Ce qui fait de lui quelqu'un de redoutable, c'est que non seulement il résiste un peu à la douleur mais surtout il s'en délecte.

Physiquement, Edward reste assez séduisant, il s'habille avec des pantalon larges, assez pour ne pas le gêner dans ses déplacement, des baskets épaisses de couleur noir et des maillots de toutes couleurs. Il ne fait pas très attention à sa tenue vestimentaire. Car pour cerner Edward, il faut regarder son visage. Le teint plutôt pâle, des cheveux gris verts retombants sur son front et ses yeux de la même couleur. Ses yeux...Des yeux qui trahissent toute sa cruauté et son sado-masochisme, des yeux qui portent en eux tous la haine des humains. Et puis viennent ses lèvres, ses douces lèvres, le dernier fragment d'innocence d'Edward. Pulpeuses et douces, elles sont la preuve qu'il existe, au fond de ce monstre, un "Edoux"...

Personnalité

Décrire Edward comme instable serait une aberration. A moins de vouloir se trouver à milles lieux de la vérité. Edward n'est pas potentiellement dangereux, il est complètement fou. Cette folie s'explique par le nombre de traumatismes dont il fut victime dans son enfance. En somme, il n'est pas dit 'fort' mentalement. Son esprit céda le jour où sa soeur adoptive lui brisa le coeur. La faiblesse d'Edward réside en un mot 'Edoux' à ne jamais prononcer. Sauf si vous voulez le transformer en bombe à retardement.

Edward parle peu. Il n'aime pas les gens qui sentent le besoin de parler avant de mourir. Il parle quand ça l’amuse ou quand c’est nécessaire. Il ressent principalement trois émotions : l'indifférence, l'amusement, la colère. L'indifférence est son sentiment de base, en général, il a les yeux à demi clos, lui donnant un air fatigué. L'amusement ou l'excitation, son sentiment favoris, se traduisant par un sourire, un rire, qu'il ressent généralement en souffrant ou en faisant souffrir, ou alors en consommant des produits illicites ou pendant l'acte sexuel. Et la colère : Qu'il ressent à l'évocation du nom de Sallye ou, plus souvent, lorsqu'on le surnomme 'Edoux'. Edward s'analyse ainsi lui-même. C'est lui qui a inventé cette histoire des '3 émotions' afin de savoir où il en est. Sa grande peur est de ne plus arriver à se contrôler.
Ed est égoïste. Il ne se soucie que peut des autres. Il n'a pas une âme de chef et se soumettre ne le dérange pas. Perdre non plus, d'ailleurs. La fierté ? A vrai dire cela dépend des moments, de ses humeurs, mais cela le préoccupe à peine. Ce qui lui permet d'ailleurs de se livrer à des 'jeux' assez humiliants pour des personnes normales. Edward tient plus que tout à profiter un maximum de son enveloppe humaine, conscient qu'un jour son corps ne suivra plus son esprit tourmenté. Ainsi, Edward pousse sans cesse ses limites physiques, ses limites morales étant déjà largement atteintes.
Le dernier trait d’Ed est important. C’est son courage ou sa folie, voyez-le comme vous voulez. Sa seule limite est celle de son enveloppe charnelle. Quand il veut quelque chose, il l’obtient, irrémédiablement. Lorsqu’il se bat, c’est jusqu’à l’épuisement ou la mort lorsque ça devra arriver. Car Edward n’a plus peur de la mort. Son seul objectif dans la vie est de tuer, réduire à néant chaque chose et profiter des plaisirs que son corps peut lui offrir, surtout s’ils sont au dessus de toute lois et de toutes morales.

Histoire

Le dos collé contre le dossier de la chaise, le menton posé sur les genoux, tenus par ses mains, le petit garçon tremblait de froid. A chaque fois qu'il expirait, une fumée grise s'échapper de ses lèvres incolores. Il fixait, de ses grands yeux verts déformés par la peur, la porte d'en face. Il entendait sa mère. Il entendait. Ce bruit lui était insupportable. Elle souffrait. Maman...Non ! il ne devait pas faire de bruit. Mais un jour...Un jour il les tuerait. Tous. Un silence morbide s'abattit soudain. Edward sentit son coeur se déchirer en deux. Des larmes glacées rampaient le long de ses joues. Il respirait de plus en plus vite. Maman ne criait plus. Elle ne crierait plus jamais. Elle était partie. Tout comme papa. Tout seul, il était tout seul.

" Tu vas vivre chez moi, à partir de maintenant. Je te présente ma fille, Sallye. "

Sallye portait une robe de la même couleur que les yeux d'Edward, elle avait des cheveux noir et une mèche qui lui retombait sur les yeux, elle soufflait toujours pour la faire voler. Ca la faisait rire. Edward lui parlait quand elle lui parlait d'abord, mais souvent, il la regardait. Et quand elle lui souriait, il souriait aussi, naturellement. Elle lui avait expliqué comment il fallait se comporter dans la maison, mais souvent, elle parlait d'elle. Edward l'écoutait, encore, encore. Elle avait toujours voulu avoir un grand frère, quand son père - Edward devait l'appeler "Papa" - était partit sa mère - Edward devait l'appeler "Maman " - avait décidée d'adopter un enfant, un garçon. Edward était contentent que ce soit lui. Parce que, quand Sallye parlait d'elle ou même d'autre chose, Edward oubliait tout, même la Chambre Noire. Sallye lui confia un jour, qu'elle n'aimait pas son père mais Edou ne devait pas savoir pourquoi. Alors il ne se posa jamais la question. Car quand Sallye disait quelque chose, Edward obéissait toujours. Ils avaient six ans quand "papa" revint.

" Edward, enlève le reste. "

Non vraiment, il n'aimait pas non plus "papa". Il lui faisait mal. Edward avait honte de dire à Sallye ce que "papa" faisait. "Papa" avait expliqué, si Edward le mettait dans sa bouche, il ne ferait pas mal à Sallye. Edward ne voulait pas que Sallye ait mal, il ne voulait pas qu'elle ait honte. Edward voulait que Sallye continue à parler d'elle. "papa" s'en alla, un jour, sans rien dire. Et tout redevint comme avant.

Un simple hasard avait voulu qu'Edward prenne un chemin différent des autres pour aller au car. Il savait que Sallye ne passait pas par là, tant pis. Il écoutait la chanson favorite de Sallye, celle qu'elle chantait sous la douche. Le son cessa d'arriver dans ses oreilles. Il sortit le lecteur MP3 de sa poche. Plus de piles...Il poussa un juron et tourna pour arriver à l'arrêt. Quelque chose lui traversa la gorge et s'arrête quelque part dans son estomac. Un poids énorme. Elle avait les yeux fermés, lui aussi, il avait posé ses mains sur ses fesses, elle le serrait contre sa poitrine. Le sac plein de livre, et le lecteur mp3 tombèrent sur le sol. Edward recula. Le monde venait de s'écrouler. Il ne voyait plus rien, rien que leurs lèvres qui se détachaient, eux qui restaient sans rien dire. La bouche ouverte, Edward sentit le poids entier de son existence remonter dans sa bouche, il se pencha en avant et vomis tout ce qui pouvait lui rester d'espoir et de paix. Il releva la tête. Le visage déformés par des centaines de sensations nouvelles qui venaient de ses entrailles. Dans sa gorge, son sang avait le goût amer de la défaite. Ses lèvres étaient rougies de son propre sang. Ils n'osaient pas bouger. Edward se sentait bien, il ne s'était jamais sentit aussi bien. Il fit quelques pas, avec une vélocité incroyable, ses deux mains se posèrent sur le coup du garçon, et il serra, avec toute l'amertume de tout ce qui était remonté de son estomac. Sallye hurlait, elle lui secouait le bras. Edward lui donna un coup de pied, et appuya de plus belle. Sallye était restée assise, pétrifiée. Edward lâcha le garçon après qu'il est fini de se débattre et se tourna vers Sallye. Elle tremblait, pétrifiée par la peur. Edward la regarda.

- Comment je m'appelle ?
- Euh ...
- DIS MON NOM !
- Edward
- NON !
- Edoux ?
- Je t'aime Sallye.

Il aurait aimé la tuer, mais il ne fut capable que de déposer un baiser sur sa main. Elle pleurait. Il prit le car mais ne s'arrêta pas au lycée, il s'éloigna le plus possible. Il marcha, longtemps.
Une bande de jeune le suivait. Il marchait tête basse. Lorsque le leader l'apostropha d'un 'EH TOI ! ' poétique. Un sourire amusé apparut sur ses lèvres. Il se tourna vers eux, souriant. ' Vous êtes venus me donner votre fric, les gars ? ' Evidemment, trois contre un, il n'avait aucune chance. Tout ce qu'il voulait, c'était en tuer. Tuer, tuer. Il attrapa le plus faible des trois par la gorge, avec un sourire jusqu'aux oreilles. Il serra, malgré les coups qui fusaient, il serra jusqu'à ce que son corps ne puisse plus tenir le choc, jusqu'à l'épuisement, il tomba sur le sol en souriant.

Edward ne faisait parti d'aucune bande. Il n'avait que des potes. De toute façon ses ennemis ne faisaient pas long feu. Il obéissait contre de l'argent, de la drogue, des filles. Ceux qui aiment exagérer parlerons d'une sorte de 'mercenaire' disons simplement qu'il aimait rendre service. Le nombre de personne à qui il avait donné la mort était alors assez important. Et puis, il disparut.....Tant mieux, pour lui, si son passé l'avait rattrapé - ou la police - cela aurait été désasteux. Mais ce que le destin lui reservé allait peut-être s'averer pire...

Goûts personnels

Edward aime les chansons calmes, il n’écoutais pas de métal, pas de rap, pas de techno…Mais des chansons asiatiques douces, des berceuses, des chansons infiniment tristes. Il aime aussi ce qui sent bon, les fleures, les bonbons. Il aime aussi écouter les voix des petites filles, c’est son côtés doux et enfantin. Mais son innocence disparaît, s’éteint. Et vient alors, Ed, le vrai, le meilleur. Celui au sourire de vainqueur. Ed aime la douceur autant que la violence. Il peut tuer de manière douce et lente, sans faire couler une goûte de sang, comme il peut se battre et finir par tuer son adversaire après l’avoir démembrés. Evidemment, ce cas de figure ne s’est jamais présenté. Edward n’est pas assez endurant pour cela.
Edward aime faire souffrir et souffrir, mais il n’aime que la violence physique. Et, s’il le dit, ce n’est pas parce que la violence morale ne le touche pas.

Ooooh !! Un gens !! L'est bô !! Puis l'est nôaaaar !!
Ca se mange ?? J'peux goûter ?? O.O
Rôlala... puis môa j'fais mes commentaires, hein...

Bienvenuuuue jolie n'homme *__*

Nah pas touche l'est n'à Prune *o*

Je crois que c'est une de tes plus belles fiche