Egarée dans la maison infernal libre

Des pas dans les couloir, des pas rapide mais aussi légèrement hésitant comme si la jeune femme qui marchait dans les couloir ne savait pas ou elle aillait ce qui était le cas, jamais elle ne s'était retrouvée dans une situation comme celle si.
Non jamais elle ne s'était retrouvée dans un situation pareil, enfermée dans un maison, un manoir dont elle ignorait tout. Si elle en croyait le papier elle risquait sa vie a chaque instant au moindre geste qu'elle ferait au chaque tournant la mort l'attendait . On pouvait dire que ces pensée était perturbant surtout pour un esprit aussi rationnel que le sien.

Depuis combien de temps marchait-elle a travers ses couloir sans vouloir vraiment s'arrêter, elle cherchait aussi a respirer le moins possible, mais soudain la tension fut trop fort il lui fallait parler, même si elle devait se parler seul, en effet le silence lui paraissait immensément lourd et menacent. Non cela ne pouvait plus durer, c'était la première fois qu'elle se sentait aussi oppressé, même avant quand elle était aveugle elle n'avait pas sentit cette précision sur ces épaule. Normalement la semi obscurité et même l'obscurité ne lui faisait pas peur.
Mais ici et maintenant cela l'oppressait il fallait qu'elle trouve un moyen pour évacuer cette tension.

"J'irai lui dire
La pâleur de ses yeux
Qu'ils avaient
La profondeur de nos cieux
Je sais qu'elle marche
Sans savoir qui elle est
Que c'est les jambes
D'une autre qui la portait
Je l'entend murmurer
Océan d'ambre
Mélange, mélange moi
A tes légendes
Mets l'ancre, l'ancre en moi
C'est si doux la brûlure
Là où ta main me touche, Eau
Et coule cette écume
De ma bouche"

Etrange chanson qui sortait de la bouche vermeille de la jeune femme, elle chantait pour faire fuir la peur, sa voie était a peine un murmure léger, oui c'est cela a peine un murmure mais étrangement cela la rassurait.
Doucement tout en continuant sa mélodie elle poussa une porte, et entra, elle poussa un léger cris de surprise et sourit. Des livres a perte de vue, des livre magnifique, aussi vieux qu'il paraissait intéressant, le regard rouge de la jeune femme parcourait ces livres comme si elle n'en avait jamais vu. Un bibliothèque dans se cauchemar c'était parfait pour elle surtout , cela voulait dire que même si elle mourrait elle aurait put avoir encore un peu de connaissance, oui c'est un étrange envie mais c'est la sienne.
Avec précaution, elle s'approcha continuant sa mélopée.

"J'irai lui dire
Que son cœur s'est fatigué
De vous
J'irai lui dire
Que de l'homme elle s'est lassée
De tout
Que sa vie rare
Est cachée dans le velours... de l'immensité
Qu'il est trop tard pour l'aimer
Elle s'est dissoute...dans l'éternité, Eau
Océan d'ambre
Mélange, mélange-moi
A tes légendes
Mets l'ancre, l'ancre en moi
C'est si doux la brûlure
Là où ta main me touche, Eau
Et coule cette écume
De ma bouche"

Avec précaution elle saisit un livre et sourit, un livre en latin , avec plaisir elle s'assit a même le sol et ouvrit le livre, cela lui permit de tout oublier, si quelqu'un entrait a cette instant, elle savait qu'elle ne remarquerait rien. Non cette fois toujours chantant doucement e plongée dans le livre, elle avait oublier le monde extérieur, comme on souffle un bougie, plus de souvenir plus de futur et plus de présent.

Ichigo sortis donc de la grande allée par cette porte qui lui semblait si bizard... Il avancait à pas prudents, regardant autour de lui et redoutant les pièges qui pouvaient à tout instant - selon lui - se déclancher.

- Parano? -

* Pas si sur... J'aime pas trop ça... *

Il avançait à pas comptés, devants diverses portes en chêne délabré. Le couloir était réellement crasseux, et il n'arrivait pas à définir l'odeur ambiante.

- Un son ?! -

Oui... il avait en effet entendu, provenant d'une porte à l'entours une sorte de récitation. Il s'approcha de la porte en question, en écouta plus attentivement.

" J'irai lui dire
La pâleur de ses yeux
Qu'ils avaient
La profondeur de nos cieux
Je sais qu'elle marche
Sans savoir qui elle est
Que c'est les jambes
D'une autre qui la portait
Je l'entend murmurer
Océan d'ambre
Mélange, mélange moi
A tes légendes
Mets l'ancre, l'ancre en moi
C'est si doux la brûlure
Là où ta main me touche, Eau
Et coule cette écume
De ma bouche

J'irai lui dire
Que son cœur s'est fatigué
De vous
J'irai lui dire
Que de l'homme elle s'est lassée
De tout
Que sa vie rare
Est cachée dans le velours... de l'immensité
Qu'il est trop tard pour l'aimer
Elle s'est dissoute...dans l'éternité, Eau
Océan d'ambre
Mélange, mélange-moi
A tes légendes
Mets l'ancre, l'ancre en moi
C'est si doux la brûlure
Là où ta main me touche, Eau
Et coule cette écume
De ma bouche "

Il n'en revenait pas... Qui, dans un endroit pareil pouvait bien chantonner ce genre de poêmes? Il attendit et, cherchant ses cigarettes, il se trompa de poche, et...

* C'est quoi cette merde? *

Ce qu'il venait de trouver dans sa poche n'était pas son paquet de clopes, mais quelque chose de dur, d'allongé... Il le prit en main, et le sortis:

* L'opinel? *

Un flashback lui remémora le pourquoi de la présence de cette arme dans sa poche. En effet, après l'avoir enfoncé dans la glotte d'un de ses agresseurs, il l'avait remis incontiemment dans une de ses poches. Il le sortis, et constata qu'il était maculé de sang.

* Toi, mon grand, tu vas me servir... *

Il poussa doucement la porte de la salle, et entra discrètement, arme au poing. Il s'agissait en fait d'une grand bibliothèque, remplie de bouquins divers, dont il n'avait que faire.

Il s'approcha de la "voix", et stoppa net, en voyant cette jeune femme. Elle était... magnifique... Tout ce qu'Ichigo aimait chez une fille, était réunit chez elle. Il l'observa quelques secondes, et sortis de l'ombre.

" Bonjour, je m'appelle Ichigo, qui es-tu? "

Une parole, un voie, oui c'est cela un parole qui rompt le silence pensant qu'elle ressentait depuis quelque temps, le silence qui l’avait presque obliger a chanter, pourtant elle n’était pas quelqu’un qui n’aimait pas vivre dans le silence, non au contraire elle aimait être seul enfermée dans un grand bibliothèque, resté des heure dans une pièce ou dans la nature ou elle pouvait lire tous son saoul sans que personne ne l’ennuie.
Mais dans cette maison avec la lettre qu’elle avait lut au moins trois fois, elle ne se sentait pas vraiment a l’aise, elle savait bien qu’elle n’aurait pas beaucoup de chance contre les autres, elle ne savait pas se battre et ne savait même pas user des charmes que lui avait offert la nature, elle savait seulement étudier et attendre que le temps passe.

D’un geste brusque elle releva la tête du livre ou elle était plongée, ces longue cheveux mauves volant doucement devant ces yeux rouge comme le rubis, elle savait que leur couleur était étrange mais elle s’en fichait complètement, elle se contenta de regarder l’homme un instant droit dans les yeux, il lui fallait toujours quelque seconde pour se rappeler ce qu’elle faisait et ou elle était quand elle sortait d’un livre passionnant.
Son regard rouge parcourut le jeune homme, des ces cheveux noir en pique en passant par les yeux, le torse, les jambes, un instant elle s’imagina le dessiner comme elle le faisait souvent, soudain elle se rappela ou elle était.
Un cours instant la peur passa dans son regard avant qu’elle ne la dissimule derrière un regard froid et un léger sourire, En effet elle se rappelait que tous et toute était ces ennemi de plus l’homme portait un opinel, flûte elle était mal.
Pourtant elle répondit d’une voie calme et clair a cette homme.

« Je me nomme Kyara, Kyara Eden, ravies de vous rencontre Sieur Ichigo. »

Quand elle parlait la jeune femme avait un petit accent irlandais, car bien qu’elle parla assez bien le japonais, elle n’avait jamais put retirer cette accent de son langage, soudain, elle remarqua qu’assis ainsi au sol.
D’un bon elle se redresse, faisant tomber le livre qu’elle avait poser sur ces genoux, elle recula légèrement et sentit le mur contre son dos, pourtant malgré la peur qui lui tenaillait le corps elle ne montrait qu’un visage calme et serein, cette homme était très grand, enfin a ce qu’il lui semblait elle même n’était pas très grande, mais lui paraissait très grand surtout très musclé, elle regretta légèrement de ne pas s’être entraînée au combats , comme l’une de ces amie lui avait dit, elle savait elle que cela pourrait un jour servir.

« Si vous pouviez détourner ce couteau, et le faire disparaître de ma vue, je vous en serait très reconnaissant, disons qu’il me rend légèrement nerveuse. »

La jeune femme n’avait pas remarquer que dans le mouvement brusque qu’elle avait fait pour se relever un de bouton de sa tunique noir brodée d’or c’était détaché réveillant un peu de sa peau blanche comme de la porcelaine, elle avait toujours eu le teint pâle et le fait de rester toujours enfermée ne lui avait pas arranger cela.

Elle avait quelque mèche de cheveux mauves qui lui tombait devant les yeux, avec douceur elle les fit repasser derrière ces oreilles, en un geste souple, qui en d’autre circonstance et avec un autre personne aurait put être un geste de séduction, mais elle même n’était pas comme cela, au contraire, elle n’aimait pas trop séduire les hommes alors elle n’allait pas commencer maintenant.

Elle passa sa langue sur ces lèvres sèches, il fallait qu’elle se calme qu’elle calme les battement affoler de son cœur, allé cette homme n’allait pas lui faire du mal tout de suite, sinon il l’aurait déjà attaquer, il fallait qu’elle trouve quelque chose qui lui permettra de survivre, il fallait qu’elle trouve le moyen de fuir. Doucement elle repoussa ces lunettes sur son nez, mais comment faire.
Bon elle attendrait de voir ce que lui voulait cette homme puis elle s’arrangerait.

- Belle -

Tout en elle le faisait chavirer... Son attitude, son apparence... Malgré elle, on voyait qu'elle était très effrayée...

« Je me nomme Kyara, Kyara Eden, ravies de vous rencontre Sieur Ichigo. »

Ravie ?! Elle n'en avait pas l'air... Elle était pour le moins énervée, et appeurée... Lorsqu'elle parla, il frissonna... Un accent léger, mais tellement beau... Il devina qu'il était certainement anglophonne...

* Kyara... C'est sublime, tout comme elle... *

Elle se releva d'un coup, faisant tomber un livre au passage... Il la regarda... l'observa attentivement. Il pouvait la voir entièrement maintenant qu'elle était debout... Il aurait voulu... il aurait pu... Ses yeux rouges lui donnaient encore une plus grande beauté... Tout chez elle paraissait finesse. Même la peur lisible sur son visage n'ôtait rien à sa beauté spectaculaire... Il descendit de ses yeux, pour l'observer, et remarqua qu'un bouton était ouvert, révellant sa peau, blanche comme du lait... Il eût tellement envie de la toucher...

« Si vous pouviez détourner ce couteau, et le faire disparaître de ma vue, je vous en serait très reconnaissant, disons qu’il me rend légèrement nerveuse. »

Ichigo revint sur terre à ce moment. Il n'avait pas remarqué qu'il tenait toujours son opinel à la main. Il la rangea précipitement, se coupant maladroitement au passage.

* Merde ! *

Il releva ensuite sa tête vers la jeune femme, et replongea dans ses yeux... Elle l'hypnotisait litéralement. Il esseya de se reconnecter, puis lui dit:

" Excusez moi... Je suis... nerveux moi aussi... Je ne sais pas comment je suis atteris ici, et j'ai retrouvé cette lettre à mon réveil... Je ne sais pas ce que je dois en penser... "

Ensuite, il s'approcha de la jeune femme, sans s'en rendre vraiment compte. Elle le fascinait... Il s'arrêta à quelques centimètres d'elles. La fixant dans ses yeux magnifiques... Il lui sembla que tout s'arretait, puis, soudain, il se rendit compte que ses lèvres étaient contre celles de la jeune femme... Il ne savait pas qui des deux avait embrassé l'autre, mais il profita de cet instant au maximum...

Finalement, il ôta ses lèvres de la jeune femme, et recula de quelques pas, reprenant son souffle, et le coeur battant à tout rompre... Il ne savait pas comment elle allait se comporter devant ce fait...

Kyara sentait son cœur battre a cent a l'heure, elle détestait quand les hommes la regardait, elle n'aimait pas vraiment ce que signifiait ce regard, pour elle les hommes était des imbécile a ne regarder que le corps et non l'intérieur d'un personne, pourquoi est ce qu'il regardait toujours son corps avant le restes , elle n'était pas un poupée Barbie que l'on pouvait déshabiller du regard, note bien qu'elle ne devait pas faire trop de vague pour l'instant sinon cela risquait de mal finir pour elle. Non pour l'instant elle devait rester paisible et ne rien dire.

Du sang, elle sentit son cœur accélérer encor ont peu, sa fichue imagination repartait au galop, elle voyait déjà ce satané couteau, lui ouvrire les entrailles, déchirer sa peau, a cet instant elle aurait préférer être toujours aveugle au moins elle n'aurait put réaliser ce qu'elle voyait.
Ouf il rangeai son couteau dans sa poche, elle aurait le temps de réagir si il le ressortait même si elle n'avait pas beaucoup de chance face a un masse de muscle pareil.

Lui aussi ne savait pas ou il était, lui aussi était perturber, pourtant cela ne la rassura pas vraiment au contraire, cela lui serra un peu plus les entrailles. Si il avait sur ce que cela signifiait , il aurait put l'aider , lui faire comprendre quelque chose, non ici il n'était qu'un adversaire en plus dont elle devait se méfier un adversaire qu'elle devrait fuir.
Alors qu'elle pensait a fuir, elle le fit s'approcher, elle se senti comme écrasé par ce qu'il dégageait, elle le sentait sur de lui, de sa force, un force physique qu'elle ne possédait pas.

C'est quoi ça, pourquoi il l'embrasse, qu'il retire ces lèvre de sa bouche, la jeune femme était tellement soufflée qu'elle ne réagit pas tous de suite, c'est seulement quand il s'éloigna qu'elle réalisa ce qui venait d'arriver, sans prendre le temps de réfléchir, elle leva sa main et la lança contre la joue de l'homme.
Puis elle recula de quelque pas, les yeux brillant étrangement, il brillait comme le rubis, elle passa son avant bras sur les lèvre comme pour en chasser le goût, non pas qu'elle n'aime pas le goût de son baiser, mais elle ne savait pas pourquoi il avait fait cela. Elle se passa la main dans le cheveux, signe chez elle d’un léger trouble, trouble parce que quoi qu’elle dise le baiser n’avait pas été aussi désagréable, mais quand même troublant car elle ne savait pas ce qu’il cachait.

" Pourquoi m'avez vous embrasser? Vous êtes complètement siphonner , je ne suis pas une fille que l'on peut avoir comme cela? Vous ne devez pas avoir les idées claires, vous ne survivrez pas longtemps comme cela?"

LA jeune femme se redressa légèrement pas vraiment grand mais pas petit non plus, elle voulait paraître un peu plus grande, elle croisa les bars sous sa poitrine comme si elle voulait se protéger, mais elle ne fit que ressortit sa poitrine comme si elle l'exposait au regard de l'homme. Sa voie était légèrement tremblante de colère ou de peur, en tous cas le ton était dure et sec. Rien ne montrait qu'elle avait légèrement aimer le baiser de cette homme, cela faisait tellement longtemps que plus personne ne l'avait embrasser pour quelque raison d'ailleurs.

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