Arrivées des nouveaux-venus [ ! ]

Chaque nouveaux-venus doit poster son arrivée à la suite de ce topic. Il trouve sur sa poitrine, une Lettre. Celle-ci, dévoile le côté sombre de cette machination. Sur un papier d'une blancheur inquiètante, les mots tracés à l'encre rouge sang font froid dans le dos.

La personne a écrit:

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Lorsque votre personnage a lu la Lettre qui lui a été déstinée, il s'engouffrera par la porte grande ouverte, la porte béante du cauchemar.

Un bruit sourd. Un bruit profond et troublant, qui suffit à le mettre en éveil. Un bruit qui se répercuta, l’écho en demeura longtemps imprégné dans sa chair. Ses tempes lui faisaient mal, le sang les lui battait sauvagement. Et il aima beaucoup cette sensation douloureuse. Un second coup, identique au premier, retentit à nouveau dans son corps. Il suffit à le remettre totalement d’aplomb. Il sa passa la langue sur la lèvre inférieur et toussota, avant d’ouvrir lentement les yeux. Il les plissa un moment, tentant de s’habituer à la lumière. Le bruit lui apparut soudain plus lointain, son coeur, il savait que tous cela n'étaient que les battements de son coeur. Le bruit qu'il aimait le plus à entendre. Les questions d’une banalité absolu que se serait posé d’autres personnes en s’éveillant ici, tel que « qu’est ce que je fais ici ? » ne lui vinrent même pas à l’esprit. A la place, il sourit.

Il ramena lentement une de ses mains à son front et soupira. Enfin, quelque chose de nouveau dans cette foutue vie. Il ne savait pas combien de temps de temps il était resté assoupie, et à vrai dire, il s’en fichait, le fait est qu’il était maintenant éveillé, et là, toujours allongé. Il se releva lentement, s’aidant de ses mains et s’assis un moment avant de penser à se relever complètement. Il vérifia la présence de tous ses membres et s’accroupie, pour enfin finir complètement debout. Il passa une main dans ses cheveux défaits et soupira une nouvelle fois. Il chassa la poussière maculant ses vêtements, sans cacher son dégoût, il n’aimait pas la saleté, il haïssait la saleté. C’est donc là, alors que son regard effleurait le sol de son regard de glace, qu’il entraperçut une feuille de papier blanche. Il la fixa un moment, ne sachant quoi faire. Sa blancheur avait provoqué en lui un frisson, pas si désagréable. Il se pencha finalement et la ramassa, lisant avec une certaine avidité les lettres de sang, inscrites sur le papier.

Citation :

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Adel ? Qui était-ce donc ? Il eu beau fouiller sa mémoire, il était certain de n’en connaître aucun. Il plia le papier et le fourra dans une de ses poches, pas plus inquiété. Tuer ? Cela n’était pas un problème, et si c’était le seul moyen pour trouver la clé de ce lieu, alors, il devrait s’y faire, bien qu’au fond, il se fichait totalement de savoir où il était, et ce qu’il y faisait. Il soupira de nouveau te releva lentement la tête, les yeux mi-clos, il restait immobile. A vrai dire, il ne savait plus tellement quoi faire, alors, il restait simplement immobile. Sans doute quelque chose se passerait, sans doute quelqu’un viendrait … Sans doute.

Une explosion, une terrible douleur, comme si on lui arrachait l'oreille. Des cris, des débrits, impossible d'éviter l'un d'entre eux. La douleur de nouveau puis les ténèbres ...Une démangeaison terrible le réveilla mes on l'empêcha de se gratter dans l'oreille. Il se débattit, des renforts lui prirent les bras. Ça pique tellement, une pîqure sur l'épaule et tout devient flou. Un réveil brusque, une personne masquée et BANG ! Plus rien ...

C'est tout se dont Stanley se rappelle quand il se réveilla lentement. Il entrouvit les yeux, une silhouette flou dansait devant lui. Il cligna plusieurs fos avant de pouvoir apercevoir les formes distinctes d'une fontaine. Une douleur lancinante lui prit le crâne, il poussa un grognement et posa sa main sur son front. Ses mouvements étaient lourd et sa tête tournait. Il se redressa lentement mais se recoucha aussitôt. Il réessaya et finit non sans difficulté à se lever en s'appuyant sur la fontaine. Il se rinça le visage, réfléchit un moment à sa situation, regardant autour de lui et remarquant pour la première fois une lettre adressé à son nom. Il l'ouvrit et commença à lire:

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Il relie une deuxième fois pour être sûr qu'il avait bien assimiler. *C'est quoi cette connerie ???!!! C'est qui ce malade ?!*Il observa autour de lui encore une fois avant de remarque deux grandes portes ouvertes. Tuer ?Il jeta de nouveau un coup d'oeil vers la lettre. Il n'y avait aucune autre issue. Il marcha prudemment vers les portes. Il n'avait rien à perdre, il trouverait le con qui avait fait cette mauvaise plaisanterie et lui donner une bonne leçon.

Un rêve...Souvenirs...Du bruit...Edward n'aime pas le bruit. Edward à mal à la tête...
Il ouvrit soudainement les yeux, il vit alors une lumière éblouissante, il les referma presque aussitôt. Il était allongé sur le sol, sa tête lui faisait mal. Pour une raison étrange, il ne l'appréciait pas, cette douleur. Il se redressa et se frotta les yeux comme un gamin qui se réveille, avant de se gratter la tête. Il regarda autour de lui. Il trouvait cet endroit calme et joli. Il aimerait y rester. Cette observation le mena à une réflexion : Où était-il ? Il émit plusieurs hypothèses, qui se démentirent d'elles-mêmes. Non, il ne connaissait pas cet endroit. Il ne savait pas où il était alors il sourit. La peur ne le l’effleurât même pas. Il regardait les alentours. Sans se poser plus de question que ça.

C’était une allée, un endroit très joli qu’Edward appréciait. Il y avait des arbres, des oiseaux qui chantaient, un soleil chaud qui lui faisait chaud sur les bras. Edward leva la tête et respira cet air doux et pur. Il se sentait bien, il n’avait presque plus mal à la tête. Finalement il s’en foutait bine de savoir où il était, il était bien ici. Il s’étira et bailla. Le sol était chaud, Edward aurait pu s’endormir. Il n’avait pas vu d’aussi beau jardin depuis très longtemps. Quelque chose parterre attira son regard. Un petit morceau de papier blanc qui faisait froid dans le dos. Et Edward se dit que quelque chose d’aussi moche n’avait rien a faire dans un endroit si joli. Il prit le papier. C'était une lettre. Sans se poser aucune question, sans émettre aucune hypothèse concernant son avenir proche, il l'ouvrit.

Citation :

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

La lettre était écrite à l'encre rouge. Ce fut la première chose qu'il remarqua. Il la relu une autre fois. Il se fit alors une réflexion de taille ' C'est qui Adel ?' . Il détailla la lettre. Quelqu'un l'avait enlevé, on avait dû l’assommer. C'est pour ça qu'il avait mal à la tête...Le jeune homme se gratta de nouveau la nuque. Il relu la lettre, encore. Et il comprit. Un frisson chaud lui parcourut l’échine. Une énergie nouvelle et forte l'envahit. Il se leva. Il ne voyait plus rien, il n’entendait plus la voix mélodieuse des oiseaux. Chaque centimètre de son être était soumis à une pression indescriptible. Il brûlait d'excitation. Ce qui venait de lui arriver, il en rêvait depuis le jour où il avait tué ce gosse...Il avait oublié son nom. Adel voulait qu'il tue, il tuerait. Et dans cette jouissance presque intime, mais plus rien n'était intime chez Edward, il éclata de rire. Un rire brusque et sauvage. Un rire de bête sauvage. Il lâcha la lettre qui tomba sur le sol comme une feuille morte. Et il marcha vers ce qui allait devenir le cauchemar de tous les gens qui étaient là-bas.

Il avait dormi.

Il ne savait plus trop combien de temps. Ni trop où, d’ailleurs. Ses souvenirs étaient flous. Il savait qu’un événement c’était passé, mais quoi ?
Le soleil lui chatouillait le visage. Il pouvait entendre les oiseaux qui gazouillaient joyeusement et sentir le parfum des fleurs des champs.
Jamais il n’avait vécu pareille sensation. Lui, il était habitué aux moteurs grondant qui polluaient la rue. Les oiseaux, il ne les avait entendu que dans des animaleries. Et les fleurs, dans sa ville, elles étaient toutes ternes et inodores.
Mais quelle était sa ville, d’ailleurs ?
Ah oui. On la surnommait « la ville des amoureux ». Paris.
Peu à peu, sa mémoire lui revenait. Il se rappelait du froid, de la nuit… Il revivait sa rencontre avec l’inconnu. La croix en argent. Mais après, trou noir.

Doucement, il ouvrit les yeux. Presque tout de suite, il les referma. Une fois habitué à la lumière du jour –chose qu’il n’allait plus revoir pendant longtemps- il détailla les environs.
Le soleil lumineux, l’herbe verte, une fontaine…Le paysage avait tout de féerique.
Mais où était-il ?
Anaël se releva, et il tomba d’on ne sait où une enveloppe blanche. Il se pencha pour la ramasser et la lâcha presque aussitôt. L’écriture était d’un rouge vif, d’un rouge sang. Et les arabesques inscrites sur le papier semblaient porteuses d’un mauvais présage.
Il n’était pas superstitieux, mais croyez bien que lorsque l’on découvre une lettre pareille, il y a de quoi se poser des questions.
Anaël hésita à lire le fameux message. Mais la curiosité étant plus forte, il repris le bout de papier. Ce qu’il y lu le terrifia.

Citation :

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Les larmes lui vinrent instinctivement aux yeux. Bientôt, elles roulèrent sur ses joues pâles.
Il allait faire parti des cadavres. C’était tracé d’avance.
Anaël essaya de se calmer. Comme il le faisait souvent dans ces situations plus ou moins semblables –quoique, on se fait pas kidnappé tous les jours- il se força à respirer calmement et à analyser la situation morceau après morceau. Sa main se posa sur son cœur et il y serra la croix d’argent. A présent plus calme, il commença à détailler l’état des choses.

Il avait était enlevé. Pourquoi ? Parce que ses « capacité physiques et/ou mentales » convenait à un certain Adel. Qui était Adel ? Apparemment, l’organisateur de tout ce cirque. Il allait devoir tuer. Pourquoi ? Pour pouvoir sortir d’ici. Petit problème, il était incapable de tuer. « Les mains souillées de sang » ? Il avait la phobie du sang.
Autre chose, le dénommé Adel l’observait. En fait, il était un peu comme un poissons. Qu’on observait dans un bocal. Un divertissement. A la différence prés qu’il devait tuer ses congénères. Sourire cynique pour lui-même. Comment pouvait-il se comparer à un poisson dans un moment pareil ?
L’adolescent tenta de rebrousser chemin. Cette situation ne lui convenait absolument pas et « Adel » n’avait qu’à trouver un autre cobaye pour ses expériences stupides !
Mais « Adel » ne semblait pas si fou. Bien entendu, aucune porte de sortie n’était prévue pour les petits poissons non contents de leur sort !

C’est donc résigné qu’Anaël emprunta l’entrée grande ouverte du bout de l’allée.
Il mit ainsi le premier pied dans le tourbillon de l’enfer… « La porte béante du cauchemar »

Le noir complet, non elle ne pouvait pas être redevenue aveugle elle ne le voulait pas il fallait qu'elle continue a avancer dans la vie, elle n'avait pas encore réaliser la moitié des chose qu'elle voulait. Pourquoi ne pouvait t'elle voir, soudain sous les paupière close de la pauvre jeune femme, un rêve prit forme.

Un forme sombre menacent, un couloir, un femme qui pleure qui crie, puis elle est arrachée brutalement a un cocon de chaleur. Une femme grande mais si rassurant qui vous serre contre elle, encore des cris, puis une odeur acre de sang frai, l'ombre tombe lentement sur le sol. Puis c'est la course serre dans les bras chaleureuse de la femme, l'enfant n'a pas peur, normale entre les bras de sa mère. mais la femme elle est terrorisée, devant elle s'étend a perte de vue la lande menacent, avec ces lutin et ces mauvais esprit mais aussi la protection de ces ancêtre.

Un bruit sourd un coup de feu et c'est le réveil, un réveil brutal. Dans le regard rouge de la femme qui s'assieds rapidement se lit l'incompréhension, mais ou est t'elle? Pourquoi son crâne l'élance t'elle? Elle a l'impression d'être passé sous un camion. A ces narines monte l'odeur de l'herbe t de la campagne alors qu'elle aurait du se trouver en plein Tokyo, elle n'en croit pas ces oreilles quand chante un oiseaux. Sur ces main toujours au sol, elle sent l'humidité du sol ou se serait déposer la rosée du matin ou celle du soir.

La jeune femme veut se redresser mais le mouvement qu'elle fit lui soulève l'estomac elle sent en elle monter le goût amer du vomit, se rasseyent elle essaye de retrouver ses esprit mais que fait t'elle ici? Surtout ou est t'elle?

Son regard rouge toujours aussi étonner tombe alors sur un papier d'un étrange blancheur, on dirait un flocon de neige.
La curiosité est un défaut que possède la femme, d'un geste lent et peu sur elle le saisit. Elle essaye de lire mais rien a faire les lettre danse devant ces yeux, a geste lent elle cherche ces lunette, avec un peu de chance elle ne sont pas loin, enfin elle les trouve non loin d'elle, elle ne sont pas cassée c'est un chance. Les juchant sur le bout de son nez elle lit avec attention a lettre.

Citation :

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Mais qui était cette homme? Adel, comme dans la bible, celui qui a trahis son frère, non elle avait entendus parler d'un Adel, elle ne savait plus ou ni quand mais cela lui disait quelque chose. Mais la lettre en elle même était angoissante. Paniqué jamais elle ne paniquait, elle voulait comprendre et non vivre dans la peur. Tuer, qu'elle drôle d'idée, elle ne sais pas si elle en sera capable.
Les mots tourne dans sa tête , doucement elle se lève et frotte un peut sa tunique noir et son pantalon noir également.
Cette fois elle en est sure elle a sombrer dans un autre monde, cela ne l'effraye pas vraiment cela l'intrigue plus tôt.

D'un pas peu sure encore elle s'avança, puisque qu’on ne pouvait faire autrement autant s'avancer vers l'adversaire la tête droite, elle essaya de se rappeler ce qu'on lui avait apprit sur le combat au corps a corps ou autre mais pas moyen.
Enfin on verrait bien le moment venus. La jeune femme pénétra sans hésiter dans la gueule du loup comme aurait dit son père.

* Aie *

Ce fûrent les première pensées d'Ichigo, ce professeur d'Arts Martiaux. Il ouvrit ses yeux, et essaya, sans remarquer l'endroit dans lequel il se trouvait, de se remémorer les évènements à la base de la douleur qui lancait son épaule.

* Oh, putain ! Réfléchis, même si t'a mal au crâne. Bordel ! *

Il s'assis, et de son torse tomba une lettre bizard. Il la pris en main, mais ne la lut pas, essayant toujours de se rappeller... mais se rappeller quoi?

- Un Flash... Il se souvient -

* Oh merde... Bande d'enfoirés! J'me souviens maintenant... Mon épaule, et ... ma jambe ?!? *

Telle fût sa surprise: Lorsqu'il bougea la jambe en question, il remarqu'a qu'elle était en parfait état. Il n'avait visiblement plus de séquelles, et il était pourtant certain qu'elle avait été brisée lors de son agression. Il porta ensuite la main à l'épaule, et là encore, il ne put que constater l'évidence: il était soigné. Une douleur résidait, mais le trou avait disparut, tout comme le sang qui avait coulé quelques heures auparavent.

* C'est quoi ce bordel? Je suis où? *

Il regarda enfin autours de lui. il se trouvait dans un une sorte d'allée qui lui semblait sans fin. Il se leva, et observa les alentours..

- Rien -

C'était en tout cas ce qu'Ichigo remarquait d'intéressant dans cette allée.

* Mouais... J'suis pas du genre à flipper, mais cet endroit est bizard... j'espère que c'est juste un film que je me fais... Et d'abord, comment je suis arrivé ici bordel ?! *

Il ferma les yeux, et observa un long silence, qui s'ajouta au silence de l'allée...

* Bon, c'est quoi cette putain de lettre? *

Il ouvrit alors la lettre, et commenca à la lire:

La Personne a écrit:

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

* C'est qui Adel ? C'est quoi ce boxon bordel? Et d'abord, cette lettre me fait un drôle d'effet au toucher... *

Il prit son briquet, et alluma une clope. Ensuite, il approcha son briquet de la feuille, et une horrible réalité lui apparût...

- Du sang -

* Bordel, c'est quoi cette histoire? Je me retrouve ici, sans rien, avec une lettre écrite avec du sang? Si c'est une blague, elle ne me fait pas rire. Des cadavres mon cul ! Je pèterai la gueule de tous les minus qui s'approcheront de moi à moins de 10 mètres, ca leur apprendra... *

Malgré ces propos, qu'il jugeait rassurant, il se rendait de plus en plus compte... C'était du vrai sang... Et certainement...

* Un battle royal ?! Si c'est vrai, je dois m'attendre à tout ici... Et surtout, sortir au plus vite... *

Il regarda à nouveau autours de lui, et appercut une forme magistrale...

- Une porte -

* Waouh... Ca c'est de la porte... *

Plein de courrage, et résigné à trouver une autre issue, il s'approcha de la porte, tira un coup sur sa clope, et avanca à tavers cettre "bouche du diable"...

...

Abi connaissait bien la vendeuse du magasin où elle avait acheté cette petite merveille. Lorsqu’elle avait ouvert la porte, la vendeuse avait pris un air surpris : « Abi ?! C’est toi ? ». Abigaëlle avait oublié le prénom de cette femme mais elle s’en souvenait bien, c’était une amie du lycée et une collègue de ‘travail’. Elle discutèrent un moment et puis Abi se mit à chercher de nouveaux vêtements. Elle tomba sur un petite robe simple, d’un bleu foncé qui faisait merveilleusement ressortir tout ce qu’elle souhaitait mettre en valeur, sa poitrine, son teint, ses yeux…Elle passa à la caisse, s’arrêta quelques secondes pour papoter avec son amie, lui promis de la rappeler, et sortit du magasin.

Elle portait juste un sac à main qui contenait tout ce qui lui fallait, un revolver, la paire de ciseaux en argent, sa nouvelle robe – pliée avec soin – de quoi apporter des soins, des serviettes hygiénique, une photo d’elle en robe de mariée, une photo de son père, du maquillage, une carte de crédit et trente-cinq dollar, et aussi, et surtout, de la crème anti ‘signe de l’âge’. Elle n’avait rien oublié. Elle passa sa main dans ses cheveux. Sa nouvelle coiffure, le look un peu ‘pas coiffé’ lui allait comme un gant. Elle sourit en voyant un homme assez âgé la détailler avec attention. Abi était comme toutes les femmes, elle aimait qu’on la remarque de temps en temps. Elle avait garé sa voiture dans une toute petite rue, il n’y avait pas un chat. Elle sortit ses clés de sa poche, cap sur l’aéroport !

Une douleur fulgurante, comme si on c’était mis soudainement à lui abattre de gros coup de marteau sur la boite crânienne. Abi hissa difficilement le haut de son corps au-dessus de ses jambes. Elle se retrouva assise, dans une jolie petite allée. Elle ne souvenait plus ce qu’elle avait fait après avoir ouvert la portière de la voiture. Le sac ! Abi sursautât et jeta des regards emplis de panique autour d’elle. Il était là, avec une petite lettre posée soigneusement au-dessus.

Citation :

Bonjour,

Ta présence ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisi (e). Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivi (e), puis enlevé (e). Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras parti des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivant (e).

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Qu’est ce que cela signifiait ? Abi avait une idée assez flou sur la raison pour laquelle était ici. Mais c’était assez incroyable. L’œuvre de Dieu ? Alors son père ne délirait pas ? Un frisson glacial la parcourut de part en part. Elle avait cessé de croire en quoique ce soit depuis longtemps. Abigaëlle déglutit et se releva en épousant son pantalon d’un geste précis avant de ramasser son sac, vérifia si tout était dedans : rien n’avait été enlevé. Elle s’accorda quelques instants de réflexion. Elle avait beaucoup de mal à croire en cette histoire ‘D’œuvre de Dieu’ mais elle devait se rendre à l’évidence. Elle n’était pas arrivée là par hasard, c’était écrit dans la lettre. Elle avait était choisie.

Sans bien savoir ce qu’elle faisait, Abi s’avança, vers ‘La porte béante du cauchemard’

[1er post]

Ce fut par quelques fraiches et légères gouttes de pluie, dont les chutes étaient amoindries à travers le touffu treillis de lierre, et qui conjuraient la mélancolie de ces lieux en se déposant sur le visage de Lali que cette dernière ouvrit les yeux avec une douce fatigue, allongée sur un banc en marbre blanc au style combiné du gréco-ancien et du baroque. Ses yeux verts et vagues inspectaient, tête toujours reposée sur le banc, les hauteurs des lieux, puis elle tourna le visage vers sa gauche, mais rien de bien perceptible lui apparut. Elle avait beau faire l'effort, sous sa faible condition, de considérer l'espace dans lequel elle se situait, une obscurité opaque opprimait l'endroit, à tel point qu'on ne voyait pas à plus de 4-5 mètres et que l'on pouvait croire qu'une inquietante noiceur brumeuse avait élu résidence.
Pour plus de visibilité, Lali éleva son buste avec l'aide indispensable de son avant-bras droit, mais un soudain mal de tête l'affecta. Elle émit un gémissement quasiment inaudible. Alors qu'elle porta sa main gauche à son front d'un faible espoir de réconfort, une lettre tomba de sa poitrine. Elle se pencha pour reprendre cette lettre qui chuta sur un amas de feuilles distillant de çi de là un vert boiseux, du rouge flamboyant, des jaunes poires, des nuances dignes d'un mois d'autômne. A son contact, Lali constata que la lettre fut maintenant trempée, elle en déduisit que le sol, déjà gorgée d'eau, était immergé d'une fine nappe d'une pluie encore battante. Lorsqu'elle porta l'enveloppe, d'un blanc qui se faisait ici rayonnant au sein de cette atmosphère, à hauteur d'yeux, ses yeux perplexes remarquèrent que de petites taches rouges écarlates la transperçait. D'une curiosité tranquille, elle l'ouvrit et s'aperçut qu'un texte, formulé avec du sang et composé d'un alphabet gothique, qui par sa nature se déssinait de traits liquides et imparfaits, lui était adressé.

Le dénommé Adel a écrit:

Bonjour,

Ta présence, ici, n'est pas un hasard. Tu as été choisie. Tes capacités physiques et / ou mentales m'ont satisfaites. Tu as été suivie, puis enlevée. Ne panique pas. Si déjà la peur te noues le ventre, tu feras partie des cadavres incinérés. Si tu veux t'en échapper, tue. Chaque Humain est un ennemi pour toi : Lui aussi veux s'en sortir. Alors bats-toi jusqu'à ce que tu t'en sortes, les mains souillées de sang, mais bien vivante.

N'oublie pas que je t'observe. Toujours.

Adel.

Concernée, elle prit l'injonction au sérieux même si l'air affiché sur son visage n'en reflètait pas moins l'assoupissement de son récent réveil. Elle déposa ses pieds à terre, ces deux-ci se noyant dans un épais filet d'eau, et se leva fébrilement, le mal de tête toujours ravageur, et délaissa de ce fait l'enveloppe sur le banc.
Une fois debout, l'endroit se révélait toujours aussi imperceptible. Sous cette noiceur si insistante, déstabilisante et omniprésente, une impression de flottement dans l'espace sous une nuit éternelle pouvait nous envahir, comme si le sol n'existait plus, que le monde n'avait plus de sens, ni dessus ni dessous, ni d'horizontales ou de diagonales. Qui plus est, cette atmosphère presque vivante faisait de ce flottement quelque chose de tremblottant et d'instable, mais pourtant fixe en un point, comme emprisonné dans une cellule que l'on ferait vacillé de haut en bas, et de gauche à droite.


Au-delà du ruissellement de la pluie, subsitait un son élégant et continu mais néanmoins d'une résonnance faible, ce qui n'echappa guère à Lali qui envisagea une certaine distance de son point d'émission. Elle décidait donc de rejoindre ce qui diffusait ce son et partit donc d'une marche lente de vitalité.
Ses boots noires rencontraient les feuilles submergées d'eau, recouvrant le sol, dont le parterre procurait une certaine consistance momentanée, comme si se créait au fil de sa marche les éléments de l'espace environnant et qu'à la seconde où ces derniers se faisaent aspirer par les ténèbres, ils n'existaient plus.
Les bras recroquevillés sur elle-même, l'un au ventre dont la main rejoinait le coude de celui qui soutenait sa tête, le mal de tête de Lali ne se dissipait toujours pas. Elle se mouvait parmi un gilet, à la laine fine et d'un rose pamplemousse, un peu ample, sous lequel elle portait un chemisier blanc. Au bas, elle s'était habillé d'une jupette noire qu'elle avait affublée d'une demi-robe ouverte à l'avant et qui tombait au niveau de ces chevilles. Des collants blancs rejoignaits ses boots noires ( Hors-RP :je ne tiendrais pas compte du respect vestimentaire dans les posts des participants, à vrai dire, c'est juste un trip ce genre de description ^_^). Au fur et à mesure qu'elle avançait, le son s'intensifia et bientôt à travers l'obscurité tenace s'illumina au loin une scène, tout aussi flottante que celle rencontrée jusqu'ici, où se dressait une fontaine déversant une eau à l'eclat ravissant et incroyable de par les ténèbres qui régnent en despotes ici. Entre le lieu de la fontaine et le parterre interminable sur lequel Lali s'éternisait à avancer, s'étendait une cette obscurité imperturbable et insondable qui conferait à tout ce qui se déroulait sous ses yeux une trouble inconsistance, à l'image des méandres tourbillonant et sans fin des cauchemards. Lali en vînt à se demander si elle n'était pas en train de dormir péniblement.


Elle atteigna enfin la fontaine. Par rapport au banc, elle fut composée dans un bloc de pierre plus rugueux qu'est le granit et revête donc des nuances un peu plus chaude et vanillée. Elle est ornementée de divers representation tribales et chimériques qui font penser aux traditions pré-colombiennes ou aux arts clandestins de l'Italie moyen-ageuse. Des sensations assez esotériques l'investissement et la rende mystérieuse. Lali nota tout de suite, en s'appuyant à son rebord incurvé, la pureté de son eau dont même des fleurs de Lotus s'abreuvent. Elle hésita une seconde avant de finalement d'en boire une gorgée au creux de sa main. Bien que cela ne dissipa point ses maux, elle comprit que son corps ne réclamait aucunement de l'eau mais avait plutôt faim. En relevant la tete, son regard s'immobolisa, et de ses yeux verts se distinguèrent deux iris plus que ténébreuse. Elle aperçut à quelques pas derrière la fontaine, de grandes portes aux armatures de fer noire et d'un rouge vif saissisant de vitalité, comme si elles étaient drapées d'un tissu soyeux sur lequel glisserait des vibrations tel les délicats effets du vent sur les drapeaux qui ici s'accomoderaient plus à ceux du feux. Ces portes, on les croirait habitées d'une âme infernale et dévorante de négativité.
Les sourcils de Lali se fronçèrent. Elle se demandait si ces sens ne lui jouaient pas des tours, ou si la fatigue ne lui pesait plus qu'elle ne le pensait. Ces deux portes ne lui étaient pas encore apparus il y a de cela un instant alors qu'elle était au même emplacement. Ce qui pouvait amener à se poser le plus de question était le fait que malgré la proximité des portes, seules quelques pierres du mur dans lequel elles étaient encastrées ces dernières étaient perceptibles mais en aucune façon le mur dans son intégralité : la sombre obscurité ne le désirait point, ou du moins, la personne qui l'avait invoqué.

D'un pas nonchalant, elle contourna la fontaine et se dirigea vers cette nouvelle entrée qui s'ouvra d'elle-même quand Lali s'y approcha. Elle s'engouffra dans la fente et les deux lourdes puissantes portes massives se refermèrent derrière elle sous un vrombissant rocailleux tel un monstre gigantesque savourant son festin. Puis seule le ruisselement de la pluie frappant les portes jumelles accompagnait le silence macabre.